Handicap à l’école : Une politique d’exclusion
La véritable politique du handicap à l’école
Mardi 11 février , Macron s’est exprimé à l’issue de la cinquième conférence nationale du handicap .
Une avalanche de promesse :
« une des priorités du quinquennat »
un « module handicap dans la formation initiale de professeurs des écoles et des enseignants du secondaire »
« d’ici à 2021, aucune personne » handicapée, « enfant comme adulte, ne soit laissée seule dans la recherche de sa solution »
« Permettre à chacun de vivre une vie digne, une vie libre »
cela pourrait prêter à sourire , seulement voila ! dans la réalité ce sont des enfants handicapé victime d’une politique d’exclusion scolaire .
Voici un exemple concret reçu par notre équipes cette semaine illustrant cette grave accusation .
Directeur d’école primaire et Directeur académique visé par un dépôt de plainte .
Courant Janvier 2020 , le directeur d’une école primaire de Nantes aurait attaché un enfants handicapé .
La plainte que nous avons consulté explique cette violence comme suit :
« Le directeur a entouré la partie supérieure, bloquant les bras de l’enfant à l’aide d’un drap . Pour maintenir ce drap , le directeur nouera une écharpe fortement serré au niveau du plexus »
Le calvaire de l’enfant n’est pas fini non , le plaignant poursuit :
« afin de maintenir l’enfant , le concierge lui fait un placage ventrale et s’assoie sur son postérieure afin de nouer l’écharpe . Ensuite , le concierge maintiens fortement les chevilles de l’enfant pour que le directeur , à l’aide d’une seconde écharpe, attache les jambes de l’enfant par les chevilles . »
récit glaçant , reconnu par le directeur d’école lui même selon le plaignant .
Directeur d’école abandonné par son supérieur .
Le dépôt de plainte ne s’arrête pas à ce fait non . La responsabilité vise avant tout le directeur académique ,Monsieur Phillipe Carrière, l’accusant d’avoir délibérément abandonné le directeur , les maitresse et la famille à leurs sort .
Un drame avait déjà alerté sur ce problème .
La responsabilité de l’administration fut reconnue après le drame ou Christine Renon se donnait la mort au sein de l’école qu’elle dirigeait en Seine-Saint-Denis. Dans un courrier envoyé deux jours avant son suicide à de multiples destinataires, cette femme de 58 ans mettait en cause l’éducation nationale et ses conditions de travail, détaillant « son épuisement », la solitude des directeurs, ou encore les réformes incessantes et contradictoires.
Faut il encore un drame comme celui ci pour que les choses changent ?
Une chose est sur , la politique gouvernemental prouve que la sécurité , leurs sécurités priment sur l’éducation .